Conséquences de la crise du COVID


Ces périodes complexes de confinement suivis d’une période de déconfinement nous touchent et nous impactent tous sur le plan personnel. Je voulais vous décrire ici de façon assez générale les processus naturels qui en sont les conséquences.

Cela se passe différemment suivant notre personnalité, notre environnement de vie, notre métier et notre entourage. On peut cependant distinguer un cycle en 3 phases dans ce genre de situation extrême :

1ère phase : le début de la crise, l’annonce et le choc

Notre monde stable devient instable et plein d’inconnu. On pourrait dire que cela « sème le bazar » à l’intérieur de nous avec une forte montée en stress.

2ème phase : le confinement qui dure

Les effets dépendent beaucoup du contexte (seul ou avec des proches, dans un espace limité ou avec un certain confort… ). Plus on sera « à l’aise » plus les effets seront atténués. On va alterner des moments d’espoir où on vit les choses avec une sorte d’optimisme et la sensation de voir le bout du tunnel. On minimise le négatif en projetant qu’on va en sortir grandi. Puis, comme ça dure, il y a des périodes de désespoir où chacun va chercher à se préserver et à trouver une soupape extérieure.

  • Il y a ceux qui se mettent au ralenti, quasi à l’arrêt et se coupent du monde, dans une sorte d’hibernation.
  • d’autres vont s’agiter, parler beaucoup, s’en prendre aux autres. Parfois avec de l’agressivité…
  • certains vont être actifs et coopératifs, ce qui va les aider à garder leur équilibre et à donner du sens.
  • Pour tous, ce moment va renforcer les « travers habituels » (qui sont en fait des moyens de défense) : une phobie, un coté dépressif, des symptômes psycho-somatiques, des comportements obsessionnels (manies, TIC et TOC)…

3ème phase : le déconfinement qui peut déclencher une nouvelle montée de stress.

On avait trouvé des moyens « de faire avec ». Il faut à nouveau se réorganiser pour revenir à un quotidien plein d’inconnus. Après un normal sentiment de soulagement voire d’euphorie, certains vont se retrouver avec un grand état de fatigue qui correspond à une décharge émotionnelle. C’est là qu’on peut aussi observer une sensation d’anesthésie (rien ne me touche vraiment), une hypervigilance (peur du virus), des troubles du sommeil, de l’anxiété, voire des crises d’angoisse.

Tous ces effets sont NORMAUX. Ils correspondent à des mécanismes naturels d’adaptation si cela ne dépasse pas quelques semaines et va en s’améliorant.

Quel que soit votre cas ou votre situation, si vous ressentez le besoin de vous faire accompagner, de faire le point, de bénéficier d’un « coup de pouce », d’avoir un espace et une méthode pour vous apaiser : Faites-le.

  • Il y a ceux qui se mettent au ralenti, quasi à l’arrêt et se coupent du monde, dans une sorte d’hibernation.
  • d’autres vont s’agiter, parler beaucoup, s’en prendre aux autres. Parfois avec de l’agressivité…
  • certains vont être actifs et coopératifs, ce qui va les aider à garder leur équilibre et à donner du sens.
  • Pour tous, ce moment va renforcer les « travers habituels » (qui sont en fait des moyens de défense) : une phobie, un coté dépressif, des symptômes psycho-somatiques, des comportements obsessionnels (manies, TIC et TOC)…

L’hypnose est une des méthodes adaptées et efficaces, comme les autres méthodes centrées sur le corps qui sont concrètes et soulageantes.

Une vie meilleure sans tabac grace à l'hypnose. Céline Barbe-Deffayet, Villeneuve-le-roi dans le Val-de-Marne. Proche d'Orly, Ablon-sur-Seine et Choisy-le-Roi
Permettez-vous de prendre le temps de digérer tout ça.