Quand le cerveau « en fait trop »


Quand notre inconscient nous joue des tours, l’hypnose intervient.

Nous savons que notre cerveau est une formidable et puissante machine à apprendre. Dès la naissance, nous apprenons en permanence et nous stockons des connaissances qui nous transforment en commençant par le fait de bouger, de marcher, de parler…

Pour pouvoir apprendre, le cerveau enregistre tout, mémorisant les bonnes expériences, mais aussi toutes les peurs, tous les dangers que nous avons rencontrés un jour. Ensuite il généralise (ou « systématise ») les solutions qu’il a trouvé pour y faire face, ce qui est très pratique.

Par exemple un jour face à un événement stressant et désagréable, notre cerveau a trouvé une solution qui a fonctionné : manger quelque chose de bon pour se sentir mieux, moins seul, moins triste. Ce comportement fut un succès et notre cerveau l’a mémorisé comme étant une bonne solution a généraliser. Certaines de ces « généralisations » finissent parfois par nous gêner dans notre vie d’ado ou d’adulte.

 

L’hypnose : un accès qui permet d’agir là où ça fait mal !

hypnose : agir sur l'inconscient, le cerveau avec Céline Barbe-Deffayet à Villeneuve-le-Roi

Avec l’hypnose, il s’agit donc de désactiver l’apprentissage d’origine qui nous limite, voire nous fait souffrir TOUT EN GARDANT CE QUI EST BENEFIQUE, comme dans notre exemple « le besoin de se sentir bien, en accord avec soi-même ».

Il est ensuite possible d’activer de nouveaux apprentissages qui correspondent à nos attentes et à nos objectifs d’aujourd’hui.

L’hypnose permet d’accéder directement au cerveau limbique et au cerveau reptilien et d’agir à ces niveaux inconscients. Grace à elle, il est possible d’agir sur les comportements et les émotions automatiques (le réflexe d’attraper une cigarette ou un morceau de chocolat ou son smartphone …) sur lesquels nous n’avons plus aucun contrôle conscient.

Faites le test : Décidez d’oublier les chiffres de 1 à 5 ou d’arrêter de savoir conduire pendant 10 minutes. Ce n’est pas possible !
Changer n’est pas seulement une affaire de volonté… il est aussi important d’aller travailler «sous le capot».